Friday, November 11, 2011

Anthologie de l'électroacoustique à travers les âges

Appelez-moi Ismaël.

Parce qu'au moins, à partir de là, j'ai une identité.

À partir de là, d'accord, mais d'ici, delà? de ci? de do?

De ré à mi, de fa, sans dessus dessous…

Par dessus le vent, sous les nuages, à côté du temps et le tout sans barre de mesure… la vie comme un point d'orgue.

Résoudre patiemment le nœud bien serré.

Découdre les liens étouffants, et vivre sans attaches.

Vivre libéré, mais seul: voilà le prix à payer.

Toujours un prix à payer; .99$ au Dolarama.

(Qu'il ne payait jamais pour les gens qu'il a confondu quand il était lui.)

C'est sans compter la fois où il n'avait vraiment rien payé du tout aux gens qu'il ne connaissait même pas tant il y avait confusion.

Il faudrait ajouter que cet événement confus ajoute beaucoup à sa réputation brumeuse.

Ce n'est peut-être qu'une confusion événementielle dont la brumosité est réputée…
s'être posée
des deux côtés, de multiples manières, en un seul être… de part et d'autre de la clarté réputée ombragée…

La nuit, le jour, où est la frontière?

Elle est floue, et sans avertissement, une clarté envahissante se déclare.

C'est le paradis enfin!

C'est ma vie, c'est notre vie! Ce paradis!

Parade de riz. Patate et pain dans mon bain.

Pour laver mes mains et mes pieds d'amphibien!!

Car c'est très connu, un amphibien ne se lave jamais trop souvent les extrémités.